Posté : lun. 05 sept. 2005, 09:09
Je ne suis pas tout à fait d'accord:
Les joueurs sont sur un paquebot de luxe: il y a largement à faire.
- plein de PNJs avec lesquels interragir sur plusieurs scéances
- des PJs qu'on croise partout
- des japonais très serviables et polis, mais carrés
- des boutiques de luxes pour ceux qui aiment ça
- des bars
- des salles de jeux/casinos
- au pire, discothèque et cinéma pour les soirées
Il faut s'étendre au maximum sur la première partie: les PJs ne se connaissent pas, mais quoi qu'ils fassent, il se rencontrent partout, avec Cornélius. Et même si ils ne s'entendraient pas à priori, ils finiront par se trouver des liens.
Il faut parfois un peu les forcer à joueur leur personnage et à sympathiser, malgré eux, même avec Cornélius.
N'oublie pas non plus que plusieurs les PNJs auraient pu faire partie du gestalt: il doivent donc plaire à ou attirer un maximum de PJs.
Il faut improviser des rencontres et des discussions tout au long du scénarios, principalement sur le bateau avant le meurtre et au congrès. Cela te permettras de commencer à profiler les êtres magiques. Et ça pose les bases du style de jeu de Scales.
Personnellement, je planifie comme ça:
- au moins, une scéance sur le bateau d'interractions sociales, où les PJs se croisent de plus en plus, jusqu'à presque tout faire ensemble. On peut doubler si tes joueurs aiment.
- une scéance avec le meurtre, la prison, l'évasion.
- si les joueurs ne vont pas en Italie, jusqu'à une scéance de dépérissement moral et d'enquête ou autre, jusqu'à leur départ
- une scéance au congrès, le plus hermétique possible (pense congrès de grands savants utilisant des mots spécialisés de plus de 4 syllabes)
- pour finir une/deux scéance(s) pour boucler l'affaire en commençant par la mort de Cornélius.
Quant au dragon, il sait qu'il a affaire à des inférieurs: il doit être sûr de lui et en connaître beaucoup plus sur le monde que les autres joueurs: prévois une scéance de brieffing grossier mais global et insiste sur le fait que c'est un être supérieur.
Pour Cornélius, tu peux décider qu'il veut se rendre indispensable, ce qui le rend collant (mais forcément sympa) et qu'il fait tout pour et à la place des PJs (surtout la baston).
Les joueurs sont sur un paquebot de luxe: il y a largement à faire.
- plein de PNJs avec lesquels interragir sur plusieurs scéances
- des PJs qu'on croise partout
- des japonais très serviables et polis, mais carrés
- des boutiques de luxes pour ceux qui aiment ça
- des bars
- des salles de jeux/casinos
- au pire, discothèque et cinéma pour les soirées
Il faut s'étendre au maximum sur la première partie: les PJs ne se connaissent pas, mais quoi qu'ils fassent, il se rencontrent partout, avec Cornélius. Et même si ils ne s'entendraient pas à priori, ils finiront par se trouver des liens.
Il faut parfois un peu les forcer à joueur leur personnage et à sympathiser, malgré eux, même avec Cornélius.
N'oublie pas non plus que plusieurs les PNJs auraient pu faire partie du gestalt: il doivent donc plaire à ou attirer un maximum de PJs.
Il faut improviser des rencontres et des discussions tout au long du scénarios, principalement sur le bateau avant le meurtre et au congrès. Cela te permettras de commencer à profiler les êtres magiques. Et ça pose les bases du style de jeu de Scales.
Personnellement, je planifie comme ça:
- au moins, une scéance sur le bateau d'interractions sociales, où les PJs se croisent de plus en plus, jusqu'à presque tout faire ensemble. On peut doubler si tes joueurs aiment.
- une scéance avec le meurtre, la prison, l'évasion.
- si les joueurs ne vont pas en Italie, jusqu'à une scéance de dépérissement moral et d'enquête ou autre, jusqu'à leur départ
- une scéance au congrès, le plus hermétique possible (pense congrès de grands savants utilisant des mots spécialisés de plus de 4 syllabes)
- pour finir une/deux scéance(s) pour boucler l'affaire en commençant par la mort de Cornélius.
Quant au dragon, il sait qu'il a affaire à des inférieurs: il doit être sûr de lui et en connaître beaucoup plus sur le monde que les autres joueurs: prévois une scéance de brieffing grossier mais global et insiste sur le fait que c'est un être supérieur.
Pour Cornélius, tu peux décider qu'il veut se rendre indispensable, ce qui le rend collant (mais forcément sympa) et qu'il fait tout pour et à la place des PJs (surtout la baston).